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Constitutionnel érudit Steven Gow Calabresi exhorte le président Trump d’exiger de la Commission du commerce International expliquer qu’il a nommé inconstitutionnellement un juge administratif de droit

Mar 22, 2019 7:11 AM ET

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CHICAGO, ILLINOIS – 21 mars 2019 – professeur Steven Gow Calabresi, le J.. Clayton & Henry R. Barber Professor au faculté de droit de Northwestern Pritzker et spécialiste du droit constitutionnel et sur la Clause de rendez-vous en particulier, a envoyé une lettre au président Trump lui demandant d’exercer son autorité en vertu de l’Article II de la Constitution des États-Unis d’exiger que les commissaires de la U.S. International Trade Commission (ITC) d’expliquer si l’ITC a violé la Clause de rendez-vous de la Constitution.

Dans une précédente lettre à l’ITC, datée du 6 février 2019, professeur Calabresi a expliqué pourquoi il semble que les commissaires de l’ITC nommé inconstitutionnelle la loi administrative juge (ALJ) qui a publié une détermination initiale et recommandé décision dans une affaire de contrefaçon de brevet vaut un estimatif $ 7 milliards entre Qualcomm et Apple intitulée certains appareils électroniques mobiles et radiofréquence et transformation en composants ces, enquête n ° 337-TA-1065 (le 1065 Enquête).

L’ALJ en question se retire de l’ITC sur ou autour du 4 septembre 2018 et retourné à la CTI sur ou autour du 17 septembre 2018 avant qu’il a publié une détermination initiale et détermination lors de l’enquête de 1065 a recommandé. Pourtant, comme le professeur Calabresi a expliqué dans sa lettre du 6 février au CTI, l’ITC n’a pas publié toute communication publique, confirmant qu’il légalement reconduit dans ses fonctions l’ancien ALJ, tel que requis par la loi fédérale et la Constitution.

« La Cour suprême rendu limpide en décision majoritaire de Justice Elena Kagan du 21 juin 2018 à Sainte Lucie v. SEC qu’un organisme indépendant ne peut renvoyer une affaire qui est entachée d’une violation de la Clause de rendez-vous vers l’ALJ même qui est précédemment et de façon inconstitutionnelle, a présidé le cas, » a déclaré le professeur Calabresi. « Parce que l’ALJ qui a présidé à l’enquête de 1065 semble avoir agi inconstitutionnellement en délivrant une détermination initiale et recommandé la détermination, l’ITC est tenu de quitter ces déterminations et renvoyer l’affaire à un autre, constitutionnellement, nommé ALJ pour guérir cette erreur constitutionnelle. Sinon, compatibles avec la tenue de la Cour suprême à Sainte Lucie, les commissaires de l’ITC eux-mêmes, siégeant en formation plénière, peuvent présider une nouvelle audition complète lors de l’enquête de 1065 et par la suite publier de nouveaux résultats. »

Dans sa lettre au président Trump, professeur Calabresi explique que, « [p] onformément à l’Article II, section 2, article 2 de la Constitution, » le président « ‘ peut exiger l’Opinion, par écrit, de l’agent principal dans chacun des départements exécutifs, une ou l’autre Sujet se rapportant aux fonctions de leurs Offices respectifs. ” » En particulier, professeur Calabresi explique, président Trump peut envoyer une lettre à David S. Johanson, président de la CCI, « exigeant que [président Johanson] promptement un [le président] son opinion écrite que les commissaires de l’ITC a violé la Clause de rendez-vous en ce qui concerne le « retour » de [l’ancien ALJ] comme un ALJ supposée de la CCI. »

Professeur Calabresi conseille le président Trump que « [l] e CTI de l’apparent échec de reconduire les retraités [ALJ] un ALJ d’une manière qui est conforme avec la Clause de rendez-vous est particulièrement alarmant parce que la CCI semble avoir négligé (1) de la Cour suprême décision le 21 juin 2018 dans Lucia c. SECsoutenant que ALJs sont des officiers inférieurs qui doivent être nommés en vertu de la Clause de rendez-vous, (2) décret [de président Trump] du 10 juillet 2018 réitérant la tenue de la Cour suprême à Sainte Lucie et (3) l’avis de l’ITC de 4 septembre 2018 reconnaissant son devoir de nommer ses ALJs d’une manière compatible avec Lucia. »

« Plusieurs sujets de préoccupation m’a incité à écrire au président Trump, » a déclaré le professeur Calabresi. « Tout d’abord, à ma connaissance, les commissaires de l’ITC n’ont pas individuellement ou collectivement répondu à la lettre que j’ai déposé publiquement avec l’ITC six semaines auparavant, le 6 février 2019, notifiant l’ITC que ses commissaires semblent avoir violé les nominations Clause dans ou autour de septembre 2018. En second lieu, à ma connaissance, l’ITC n’a pas à satisfaire ma demande, présentée en vertu du Freedom of Information Act près de six semaines, le 8 février 2019, de communiquer des documents confirmant ou non l’ITC conformé à la Clause de rendez-vous. Sûrement, l’ITC contrôle et peut facilement accéder aux enregistrements susceptibles de confirmer ou de nier si ses commissaires a tenu un vote de reconduire l’ALJ en question, comme l’exige la Clause de rendez-vous. Il ne devrait pas cela prendre longtemps pour localiser et communiquer ces documents en vertu du Freedom of Information Act. Échec de l’ITC de répondre promptement prend en charge plutôt que dissipe l’inférence que l’Agence a violé la Clause de rendez-vous ».

La Commission examine le dosage recommandé de l’ALJ et devrait émettre un avis définitif sur 26 mars 2019.

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